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Je viens de faire un cauchemar, pays de merde !

Il est 5h18, et ça va faire bientôt vingts minutes que je suis en stress, et en transe au fond de mon lit. Jusque la, j’avais toujours eu des rêves tranquilles et posés, emprunt de soleil, de destination de rêve et de glandage sous un cocotier, enfin rien de bien passionnant à raconter, malgré quelques détails qui font que c’est un rêve. L’exemple qui me viens est celui d’un One man show d’Eric et Ramzy, (déjà la ça colle pas, un One man show à deux …) ou les humoristes arrivaient en grosse Berline sur scène et le public jouait du bilboquet au lieu de rire, du coup c’était un joyeux bordel dans la salle ! ( Ce rêve date un peu mais je l’ai écris, c’est l’un sinon le meilleur rêve de ma vie, enfin celui dont je me rappel, si je retrouve la feuille je le posterais )

Mais revenons à nos moutons, dans la suite j’explique le rêve à chaud que je viens, il faut le dire de subir, cela peut choquer les âmes sensibles en passant, ou bien les pacifistes, les anti-canna, les ramasseurs de champignon et les chrétiens.

Tout d’abord posons le cadre :

Le rêve commençait bien, je glandais rien tout seul sur cette plage :

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J’étais pas très loin du parasol bleu, enfin pile entre le bleu et le rouge pour être précis, et c’était marée descendante.

Donc oui le rêve commençait bien, je glandais rien sur la plage j’étais assis,  les deux pieds dans un trou à regarder l’océan, ou la mer, au choix. Donc pour compléter le tableau, j’allume un pet, dans la chronologie, c’était le début de la soirée, la lumière commençait à décliner mais il faisait chaud, c’est l’été après tout !

Juste après, je relève la tête et je vois deux amis qui arrivent, Antoine et Julie qui viennent s’assoir à coté de moi, donc on fume on rigole, on regarde l’océan c’est trop bien !

C’est la partie du rêve qui reste la meilleurs à mon gout, avec son esprit détendu, vacancier, tout ça. Bref, jusqu’ici tout allait pour le mieux dans le meilleurs des mondes.

C’est la que les péripéties commencent, Antoine prend le petit sachet de Weed, il n’y a pas grand chose dedans, peut être 1 gramme au maximum, pour le regarder, seulement manque de bol, en le prenant, il n’avait pas vu qu’il était mal refermé, et le précieux contenu tombe dans le trou qui était juste devant ( Précision nécessaire, le trou n’était pas profond, 15 centimètre, de quoi garder les pieds au frais pour pas se bruler avec le sable chaud ).

Donc je lui gueule un peu dessus, en lui disant qu’il est trop lourd qu’il aurait pu faire attention, mais Antoine est très maladroit des fois, on a l’habitude. C’est vrai qu’on a que ça pour la semaine de vacance et donc c’est assez précieux. (Seconde précision, le fait qu’Antoine fasse tomber ceci était plus que probable vu sa maladresse chronique ! )

Je commence à ramasser tout ça j’imagine que c’est plein de sable et tout, mais bon c’est pas grave on est à la plage après tout. j’ai le sachet dans la main gauche et je suis en train de ratisser le sable au fond du trou pour récupérer les miettes. « Halte au gaspillage, il n’y a pas de petites économies ( slogan écolo hors contexte ! ) « .

C’est la que les problèmes commencent, j’étais de mauvais poil, un peu (trop )défoncé, quand j’entend une voix par dessus mon épaule.

« Vous avez les mains dans le Fraser et elles sont sales, j’en déduit que vous êtes donc coupable » ( J’ai entendu Fraser, mais c’était pour nommer le sachet, le mot en lui même n’ayant aucun sens )

Donc je relève la tête, le regard en coin, toujours assis, avec le matos dans les mains, et je remarque que c’est une flic, assez petite mais entièrement en uniforme. On fait pas les choses à moitié, elle à gants, képis, ceinturon blanc, et grosses bottes brillante blanche, un mix entre motard et patrouilleurs ( D’un autre coté je sais pas trop à quoi ressemble la police des plages ).

Les événements qui suivent sont enchainés très rapidement parce que je suis énervé, et aussi un peu parce que c’est un rêve.

Sous le coup de la colère, je m’exclame toujours assis  » j’exige une prise de sang, une prise de tête, et une prison break! » Dans ma tête c’était clair, c’était trop malin comme solution, c’était le code pour partir en courant avec les autres, mais ni Antoine ni Julie ne daigne faire quelque chose, ils sont la pantois, en train de se retenir de rire au vue de la blague idiote que je viens de faire. Alors que je suis debout devant cette petite chose bleue. Après coup je serai toujours fier de cette vanne, c’est ce qui m’a fait me rappeler entièrement du rêve à mon réveil !

La flic me regarde méchamment, c’est pas le moment, je la laisse pas enchainer la suite quand je dis  » Non mais laissez tomber, l’hôpital est trop loin, ça va mettre trop de temps je vais vous pisser dans la bouche vous verrais bien que c’est négatif » ( alors que l’hôpital est à 300 mètres de la, c’est normal en bord de mer il y a beaucoup d’accident ce qui nécessite un hôpital assez proche ). Pour continuer le vice et m’enfermer dans mon truc, je fais mine de défaire ma braguette, alors que j’ai un short. Oui oui, pas d’atteinte à la pudeur dans ces conditions !

C’est la qu’elle commence à me sortir son baratin sur l’outrage sur agent des forces de l’ordre et tout le bordel…

Ce à quoi je répond que je m’en fou, que je suis en vacance, que je n’ai ni papiers, ni envie de donner mon identité quand elle me le demande. Donc elle me répond qu’elle peut me retrouver, via les fichier d’Etat civil, je lui souhaite bonne chance, ou bon courage, un des deux.

Dans ma clémence, je lui dis enfin que c’est pas la peine de chercher, je vais décliner mon identité ainsi que celle de mes amis. Je lui présente Antoine, mon copain que je viens de rencontrer, il est grenoblois, aime le ski, rire, et se faire emmerder par les flics, ainsi que Julia ( ma langue a fourcher à ce moment la ) qui est de Limoges, travaille dans un labo de meth, aime rire et se faire emmerder par les flics. « Quand à moi, je suis Alexis, fils du diplomate Togolais en France, j’ai un fort accent allemand ( je ne sais d’ou il sort d’ailleurs, mais je commence à le prendre volontairement à ce moment, ce qui parait une bonne idée, après coup c’est totalement idiot d’inventer un accent au milieu d’une conversation ), j’aime regarder Koh lanta, parce que regarder des gens manger des racines à la télé me permet de mieux apprécier mes pâtes ». J’enchaine en disant que quelque soit la longueur de son bras, le miens sera toujours plus long, (au sens propres comme au figuré,en rapport avec sa taille) et que je n’aimerais pas l’avoir dans le rectum ( mon bras), c’est une menace mal formulée, mais qui fait son petit effet !

Après les détails sont moins précis et ça s’enchaine un peu moins bien, surtout parce qu’Antoine et Julie sont en train de rire aux éclats face à la masse de conneries débitée à la minute, mais ce qui est sur c’est que cette flic essaye de me faire une prise de « je sais pas trop quel sport nippon », mais j’esquive miraculeusement et elle tombe par terre en perdant l’équilibre.

Du coup je lui demande  » Maintenant que vous êtes plus près du sol, vous voyez de la beuh ? Si oui vous pouvez la ramasser, je sais que je demanderais pas ça d’habitude, mais la on est vraiment juste pour la semaine, donc bon ca nous arrangerais de pas avoir trop de pertes inutiles…  »

La elle est vraiment en colère, son égo en a pris un coup, elle se relève avec difficulté, mais personne l’aide, je regarde sur la promenade plus haut, et je vois que son collégue l’attend, il est en train de dresser un PV ou je sais pas trop quoi à coté des motos. Donc après ce rapide coup d’oeil, je fais signe aux autres de prendre la fuite, donc on court de l’autre coté du casino, pour rentrer à l’appart en passant par la plage. La c’est la fin de l’histoire.

La dernière scène que je vois se passe dans un tribunal à l’américaine, ou je viens de raconter ma version, comme je viens de le faire la, en essayant de cacher les détails sur la beuh, en disant que rien de tout ceci n’était justifié, que j’étais peinard.. Donc l’ultime vision c’est quand le juge me demande, avec un sourire en coin et se retenant de rire  » Vous avez réellement fait tout ça ? », et que je réponde :   » Vous avez raté un truc votre honneur, si vous aviez vu dans quel état elle était cette femme quand elle s’est relevé après être tombé dans le sable, c’est elle que vous auriez arrêté pour comportement suspect » ( note : quand elle s’est relevé, la flic était rouge de colère, à moitié hystérique, et touchée dans son égo )

Voila j’ai mis un peu plus d’une heure à rédiger ceci, afin de remettre tous les détails dans le bon ordre, et je vais de suite envoyer le lien à Antoine. Parce que cette histoire, malgré qu’elle provienne d’un rêve, aurait pu réellement se passer comme ça, à seulement quelques détails près…

Publié dans:Rêves |on 19 janvier, 2013 |Pas de commentaires »

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